17 Avril 2025
Du 9 avril au 5 mai 2025, dix lieux – cinémas, centres culturels, associations, etc. – accueillent la 20e édition du Festival de films européens de Paris. L’occasion de voir ou revoir quelques « classiques » mais surtout de plonger dans la création filmique contemporaine dans toute sa diversité.
Depuis vingt ans, quelque mille cinq cents films ont été présentés et plus de quarante-cinq pays ont été concernés par le Festival. L’occasion de découvrir des films européens tournés par des Européens sur des sujets situés sur le territoire, mais aussi de faire quelques échappées belles vers d’autres pays et avec d’autres réalisateurs. Place, donc, ici, à la curiosité tous azimuts et pour tous les genres, toutes les formes de cinéma.
Une large ouverture sur les productions autres que françaises
Si les productions en langue française sont présentes, elles ne représentent qu’une toute petite partie – 5 films dont 2 courts-métrages – par rapport à l’ensemble : 74 films, plus une sélection de films d’étudiants de la faculté des Arts dramatiques de Belgrade. Une densité filmique dans laquelle apparaissent des pays aussi divers que nos proches voisins – Allemagne, Italie, Espagne, Suisse, Luxembourg, Belgique, Portugal, Pays-Bas –, les pays appartenant à la Communauté européenne – Estonie, Finlande, Suède, Pologne, Slovénie, Croatie, Roumanie, Grèce, Autriche, Hongrie, République tchèque –, d’autres Européens tels que le Royaume-Uni, l’Ukraine ou la Norvège et, hors du territoire européen, la Turquie, les États-Unis, le Canada et Israël (dans des coproductions). La Russie est également présente à travers une collaboration russo-belge avec Fairy Tale, d’Alexandre Sokourov, un réalisateur trublion du régime de Vladimir Poutine. On ajoutera quelques films emblématiques produits par l’ex-Yougoslavie dans les années 1970 : Pavillon 6 de Lucian Pintilie (1978) et le Maître et Marguerite d’Aleksandar Petrović (1972), tiré du roman de Mikhaïl Boulgakov.
Place au court-métrage et à l’expérimentation
Sur les 74 films du Festival, on compte 28 longs métrages, 42 courts-métrages et 4 moyens-métrages. La large place accordée aux courts et aux moyens-métrages, prise en charge par le Studio des Ursulines et, pour l’hommage à Giancarlo Brebbia, par The Film Gallery, offre l’opportunité de voir de petites formes quasi absentes des programmations cinématographiques, de découvrir de nouveaux réalisateurs et d’approcher de formes plus expérimentales peu compatibles avec la logique des circuits commerciaux.
Seuls deux longs métrages se rapprochent de cette expérimentation hors des sentiers battus. Encore sont-ils à la croisée d’éléments du réel. Antologion, d’Aleksandr Balagura (Ukraine, 1996), qui se réfère à la « couronne de fleurs », à la « récolte de passages poétiques » de son appellation grecque, puise dans une série de films produits en Ukraine pendant la période soviétique des extraits destinés à former une ciné-rhapsodie. Un film d’assemblage en hommage au cinéma qui imagine sa propre trame, son esthétique spécifique dans un entrelacement organique. Le second, Fairy Tale, au titre ironique, fait revenir d’entre les morts Staline, Hitler, Churchill, Mussolini et Napoléon. Ils errent dans le Purgatoire dans l’attente d’une hypothétique ouverture des portes du Paradis. Dans une forme impressionnante, extrêmement stylisée et graphique, esthétiquement fantastique, Sokourov les ressuscite à partir d’images d’archives réelles retravaillées...
Des sujets de société
La fiction et le documentaire se taillent la part belle dans le domaine du long-métrage et les sujets de société y occupent leur place. Ils trouvent, sur le plan de la fiction, une première illustration dans un film muet de 1918, Der Gelbe Schein (The Yellow Ticket, « le passeport jaune », de Viktor Jansone et Eugen Illés), que joue Pola Negri. Le film traite des difficultés que doit surmonter une jeune fille juive polonaise pour étudier à l’université à Saint-Pétersbourg et des subterfuges auxquels elle recourt pour contourner l’interdiction qui s’attache à son passeport de juive – « jaune ».
Avec Laura, immigrée portugaise en Écosse qui travaille comme préparatrice de commandes dans un centre de distribution (On Falling, Laura Carreira, 2024), c’est la dimension de l’exil et de la solitude qui est explorée. Les Intrus (Reza Serkanian, 2024), quant à eux, abordent la question des migrants et de leur rejet avec l’histoire de trois mineurs en situation irrégulière hébergés dans une ferme dont la propriétaire disparaît mystérieusement.
Côté documentaire, on notera le Cameraman de Marion Lary (2024) qui s’attache au rêve d’Étienne, un trisomique âgé de 33 ans, de devenir cameraman et à ce qu’il est possible de construire à partir de son désir. Ou encore l’histoire de ce vieil homme qui vit avec pour compagnon son cheval dans la solitude et le froid glacial du cœur de la Bosnie-Herzégovine (At the Door of the House Who Will Come Knocking, Maja Novaković, 2024).
Enfin, dans un monde saturé de discours « anti » et « pro » corrida, le dandy provocateur catalan Andres Serra se penche sur le sujet en suivant, deux années durant, dans un film radical, le jeune torero Andres Roca Rey, natif du Pérou, dans tous les moments de sa vie quotidienne comme dans le rituel d’affrontement avec le taureau qui conduit à la mise à mort de celui-ci (Tardes de soledad, « Soirs de solitude », 2024).
La part de l’histoire
L’histoire est présente dans Pavillon 6, du Roumain Lucian Pintilie (1978), inspiré d’une nouvelle d’Anton Tchekhov. À travers cette fable qui raconte la rencontre entre un médecin et son ancien élève, interné pour raisons politiques dans un hôpital psychiatrique de la Russie tsariste, se dessinent en filigrane d’autres histoires, plus contemporaines dans le temps.
Nebelkind – The End of Silence (Tereza Kotik, 2024), témoigne des répercussions d’un épisode historique de la Seconde Guerre mondiale : le partage des territoires à la fin de la guerre qui déplace de force certaines populations. À travers l’histoire d’Hanna, une éleveuse de loups qui, à la suite de la fuite de l’un d’eux, franchit la frontière austro-tchèque et retrouve sa grand-mère, se raconte une histoire à la fois autobiographique et générale. « Nebelkind » (« enfant de la brume ») est un terme générique appliqué aux enfants, nés entre 1960 et 1975, qui souffrent de troubles liés à un traumatisme hérité de la génération précédente par un processus épigénétique, qui se traduit par un sentiment d’insécurité profonde, des difficultés à décider, voire des cauchemars. En franchissant la frontière, Hanna ira à la rencontre de son passé…
On retrouve le thème de l’histoire à travers divers courts et moyens-métrages. Il revient à la charge dans le documentaire à travers l’évocation du parcours de Dietrich Kuhlbrodt, un procureur chargé de poursuivre les crimes commis par les nazis. Nonkonform (Arne Körner, 2024) dresse le portrait d’un petit homme à la fois ordinaire et très hors du commun au croisement de l’histoire allemande et de ses puanteurs.
Le Festival présente l’étrange obsession de Robert Peary, cet explorateur américain passionné par l’exploration polaire – il affirma avoir, le premier, atteint le Pôle Nord géographique – qui ramena en Amérique six Inuits exhibés comme des objets ethnologiques et professait la création d’une « super-race » esquimaude-occidentale capable de dompter le Pôle – il épousa d’ailleurs une femme née dans les régions boréales.
L’histoire trouve aussi sa place dans l’aventure de ces six jeunes gens en quête d’eux-mêmes (L’histoire reste jeune, Claire Angelini, 2021). Rassemblés dans une passion commune pour le théâtre et pour Brecht, ils livrent des instantanés nourris de leur histoire personnelle et de leur rapport à leur époque, au passé proche, de leur angoisse de la guerre et de leurs attentes du futur.
Parcours initiatiques
Le devenir de soi et la manière de se situer dans le monde occupent aussi une place dans notre société, où trouver sa vérité devient difficile. Le Nombre parfait (The Perfect Number, Krzysztof Zanussi, 2022) raconte le choc de deux visions du monde : celle d’un brillant homme d’affaires (Joachim) qui, frôlant la mort dans un attentat à Jérusalem, réalise tardivement qu’une personne ne peut être complète sans l’aide d’autrui, ce qui le pousse à contacter son jeune parent, David, un scientifique puriste qui s’efforce de tout calculer dans sa vie. Leur rencontre les transformera l’un et l’autre.
Avec Los Restos del Pasar (The Trail Left by Time,2023), Luis (Soto) Muñoz et Alfredo Picazo, en entraînant leur personnage, Antonio, dans le petit village andalou de son enfance au moment des fêtes de Pâques, et en provoquant sa rencontre avec Paco, le peintre qui initie Antonio à son art, mènent une réflexion sur la religion, sur la vie et la mort et sur le caractère transitoire de l’existence. Notre rapport à la mort alimentera aussi le documentaire de Béatrice Kordon, Immémorial – Chants de la Grande Nuit (2024).
Dans Sun Never Again (David Jovanović, 2024), à travers les vertus des activités quotidiennes et la volonté de sauver les plantes de son jardin qui devient éden et refuge alors qu’une exploitation minière envahit le paysage et que la pollution sème la mort, un jeune garçon redonne à son père le goût de vivre et l’espoir.
Quant à Maret (Laura Schroeder, 2023) où l’on offre au personnage qui a oublié les vingt dernières années de sa vie la possibilité de recouvrer la mémoire, elle devra choisir entre l’acceptation de réintégrer son passé en identifiant les raisons de son éboulement cérébral ou accepter de devenir quelqu’un de nouveau en acceptant l’opportunité d’une opération. Une immersion dans le malaise et une exploration de cette zone où « l’esprit se souvient de ce que l’âme peut supporter ».
Femmes en devenir
Un grand nombre de films abordent dans le Festival la question de la condition féminine. Sally Bauer, à contre-courant (Frida Kempff, 2024), dont la sortie en salles est prévue le 13 août, se situe à cheval entre fiction et documentaire. Le roman dont le film est tiré s’appuie en effet sur l’histoire vraie de Sally Bauer, une mère célibataire trentenaire qui va mettre à mal, avec sa passion de nager, son rôle de mère et ses relations avec sa famille. Frida Kempff dresse de cette « torpille suédoise » le portrait d’une femme qui se bat pour sa liberté, tant dans sa vie sexuelle que dans sa maternité, à travers son opiniâtreté, sa volonté de battante décidée à traverser la Manche à la nage, une traversée qu’elle effectuera, en dépit des difficultés, à quelques jours du déclenchement de la Seconde Guerre mondiale. Dans une atmosphère de contrejours qui dessinent cette femme toujours en lutte pour apparaître dans la lumière se construit pas à pas la conquête d’elle-même qu’elle obtient.
L’Été de Jahia (Olivier Meys, 2025), dans un autre registre, est aussi un conte de reconquête. Jahia, originaire du Burkina Faso, vit dans un centre pour demandeurs d’asile. Son horizon, c’est l’attente, et la jeune fille, prise de torpeur, est éteinte. Jusqu’à ce qu’arrive dans le centre d’accueil la solaire Mila, une jeune Biélorusse dont le credo est : « C’est ça qu’il faut, rêver ». Chercher en soi les ressources de son devenir. Olivier Meys dresse un portrait délicat de ces deux jeunes filles, incarnées par des primo-comédiennes qui ont-elles-mêmes vécu des situations proches de leurs personnages.
La question de l’accomplissement de soi passe aussi par celle du désir. C’est ce thème qu’explorent, chacun à leur manière, deux films : My Late Summer (Danis Tanović, 2024) et Foudre (Carmen Jaquier, 2022). My Late Summer (« Ma fin d’été ») met en scène la fille illégitime d’un riche insulaire qui vient réclamer, à la mort de celui-ci, son héritage. Sa liaison avec un écrivain britannique marié complètera le tableau de cette quête d’identité aux allures tragicomiques. Foudre, de son côté, aborde la question du désir et du plaisir de manière frontale. Destinée au couvent, une jeune fille, Élisabeth, revient dans sa famille à la mort de sa sœur aînée. Elle découvre un carnet dans lequel celle-ci aborde sans fard son expérience du plaisir auprès de plusieurs hommes du village. C’est bientôt au tour d’Élisabeth de s’aventurer dans la même voie…
Une diversité qui couvre tout le champ cinématographique
Il ne manque au tableau que peu de choses. Avec Blue Velvet Revisited, Peter Braatz offre aux inconditionnels de David Lynch un document de choix sur un film culte. Présent sur le plateau, filmant en caméra Super 8, Braats remonte la machine à souvenirs du choc que représenta le film avec sa charge de romantisme, d’érotisme, de violence crue, et sa musique classico-jazz. Il dépeint un Lynch perfectionniste, attaché à chaque détail, à la lumière, au son, aux mouvements de caméra, s’attache aux pas d’Isabella Rossellini, et les nombreuses photos qui accompagnent le documentaire ne gâtent rien.
Si l’animation est peu présente dans les genres proposés, il lui appartient cependant de fournir l’après-clôture du Festival avec Cat City de Béla Ternovszky (1986), une intrigue policière humoristique réalisée en Hongrie. Sur la planète X, le peuple des souris est en danger parce que les chats-gangsters s’apprêtent à les massacrer. Un espion souris est dépêché pour récupérer les plans d’une machine qui pourrait sauver toutes les souris. On imagine que sa tâche ne sera pas simple…
À l’issue des projections du Festival, trois prix seront décernés.
Sont en compétition pour le Prix SAUVAGE : L’Été de Jahia, Les Intrus, Sun Never Again, The Insides of Our Lives, Quiet Nights (moyen-métrage), Nebelkind, On Falling, Loveable.
Pour le Prix PRÉSENT : Los Restos del Pasar, Immémorial, Objeto de Estudio, At the Door of the House Who Will Come Knocking, Nonkonform, Graziano – A Hermit Story (moyen-métrage), First Milk (moyen-métrage), And They Will Talk about Us (moyen-métrage).
Pour le prix CORTO, les courts-métrages présentés au Studio des Ursulines.
Festival de films européens de Paris L'Europe autour de l'Europe . www.evropafilmakt.com
10 lieux partenaires (voir liste ci-dessous), 2 semaines de projections.
Programme 2025
Mercredi 9 avril 18h00 - Inalco - Institut national des langues et civilisations orientales HM Avant-ouverture Pavillon 6 / Paviljon VI de Lucian Pintilie (Fiction, Yougoslavie, 1978, 87', C, VOSTF) Dans un hôpital psychiatrique de la Russie tsariste, un médecin retrouve un ancien élève, interné pour ses idées politiques. D'après la nouvelle d'Anton Tchékhov.
Mardi 15 avril 19h30 – Cinéma Les 7 Parnassiens Prix SAUVAGE (hors compétition) Soirée d'ouverture Avant-première – en présence de Frida Kempff Sally Bauer, à contre-courant / Den svenska torpeden de Frida Kempff (Fiction, Suède / Estonie / Finlande / Belgique, 2024, 120', C, VOSTF/A) Sud de la Suède, été 1939. Sally Bauer, mère célibataire de 30 ans est déterminée à battre le record de traversée de la Manche à la nage. Face à la pression sociale et en conflit avec sa famille qui menace de lui retirer son fils, elle affronte les conventions pour tenter d'accomplir son rêve.
Mercredi 16 avril 20h00 – Pathé les Fauvettes HM Le Maître et Marguerite / Il maestro e Margherita d'Aleksandar Petrović (Fiction, Italie / Yougoslavie, 1972, 95', C, VOSTF) Le maestro Nikolai Masoudov, un écrivain talentueux, et son assistante Marguerite, travaillent sur une histoire biblique de Ponce Pilate. Le Diable - Woland, et ses lieutenants, harcèlent le Maître en le surveillant, en tuant son ami, et en envoyant un autre en Sibérie. D'après le roman de Boulgakov.
Jeudi 17 avril 18h00 - La Bibliothèque Polonaise de Paris HM En présence de Krzysztof Zanussi Perfect Number / Liczba doskonala de Krzysztof Zanussi (Fiction, Pologne / Italie / Israël, 2022, 87', C, VOSTF) Le jeune mathématicien David a consacré toute sa vie à l'étude des nombres premiers. La rencontre avec son cousin éloigné, Joachim, l'amène progressivement à réévaluer ses priorités.
Vendredi 18 avril 19h30 – La Fondation Jérôme Seydoux-Pathé THEMA En présence d'Aleksandr Balagura, Antologion d'Aleksandr Balagura (Expérimental, Ukraine, 1996, 77', C, VOSTF) Une tentative d'imaginer un film ukrainien avec sa propre intrigue, son esthétique, son intonation, une tentative de créer un entrelacement organique, une ciné- rhapsodie, fondée sur des fragments de films classiques produits en Ukraine pendant la période soviétique.
Vendredi 18 avril 20h00 – Pathé les Fauvettes Prix PRESENT The Trail Left by Time / Los Restos del Pasar de Luis (Soto) Muñoz et Alfredo Picazo (Fiction, Espagne, 2023, 83', NB&C, VOSTF/A) Antonio évoque son enfance dans un petit village de Cordoue et son esprit le ramène aux fêtes de Pâques : le labyrinthe de ruelles d'un blanc resplendissant où se déroule la procession, les activités frénétiques du village pour préparer l'événement, mais surtout sa rencontre déterminante avec Paco, le peintre.
Samedi 19 avril 10h00 –Le Studio des Ursulines Prix CORTO 1
Les Objets blessés de Patrick Forian et Guy Freixe (Documentaire, France, 2025, 15', C, VOSTA) Georges Banu parle dans ce film des objets qu'il a rassemblés autour de lui et qui l'ont accompagné dans son art : masques, marionnettes, poupées…
A Monster with its Mouth Agape de Steven McInerney (Expérimental, Royaume-Uni, 2024, 10', NB&C, VOSTF/A) Inspiré par l'œuvre de Yoshito Ohno, maître Butō, ce film expérimental construit une chorégraphie sonore à partir d'un enregistrement audio d'Ohno.
Groundapple de Llonymus Axoparri (Expérimental, Finlande, 2024, 9', C, VOSTF) Comme dans un rêve, Wayne sort d'un jeu télévisé pour voyager à travers un rivage interplanétaire.
Afraid to Live de Nadia Larina (Expérimental, Royaume-Uni, 2024, 7', C, sans dialogues) L'énergie singulière d'une bouée qui flotte au milieu de l'eau.
You Have Entered The Public Domain - (hors compétition) de Bobby Ge (Expérimental, Etats-Unis, 2024, 9', C, sans dialogues) Ce court métrage explore la nature cyclique de la créativité, en soulignant l'importance du domaine public comme source d'inspiration artistique.
Falling For Greta de Gustavo Arteaga (Animation, Royaume-Uni, 2023, 11', C, sans dialogues) Quand l'amour vient frapper à la porte de Greta, son monde s'en trouve retourné.
Mentor de Tinkara Klipšteter (Fiction, Slovénie, 2024, 15', C, VOSTF/A) Le film explore les complexes dynamiques qui se développent lors des répétitions à l'académie de théâtre.
Lady of Heaven de Darya Andijan (Documentaire, Pays-Bas, 2025, 10', C, VOSTF/A) Un voyage dans les cieux sur un tapis volant avec une grand-mère qui vient d'être libérée d'un camp de travail au Xinjiang, en Chine
Samedi 19 avril
12h10 – Le Studio des Ursulines Prix CORTO 2
Ours gonflable, Hourly d'Elisabeth Werchosin (Documentaire, Allemagne, 2025, 12', C, VOSTF/A) Une jeune actrice immigrée, déguisée en un énorme nôtre, est confrontée à une odyssée surréaliste dans les faubourgs berlinois de l'ère soviétique.
Sisters / Germanes – Hermanas de Jordi Sanz Angrill (Fiction, Espagne, 2023, 19', C, VOSTF/A) La mort de Gina oblige Greta et Gemma - ses sœurs - à se retrouver après une longue période.
Still Outside / Noch Draußen de Yusuf Elbaşı (Fiction, Turquie, 2025, 19', C, VOSTF/A) Quand Sinem tente de fuir ses dilemmes de couple, elle s'embarque dans une errance nocturne dans Berlin.
Craco ! de Dimitri Martin Genaudeau (Animation, France, 2024, 15', C, VOSTA) Un scarabée abandonné par ses congénères habite les hauteurs d'un chêne. Sous le regard intrigué de l'insecte, une randonneuse plante sa tente au pied de l'arbre.
Gypsy Gadji de Dáša Raimanová (Documentaire, Pologne, 2023, 28', C, VOSTF/A) Roksana s'identifie à la fois comme Rom (Tsigane) et Polonaise (Gadji), mais chaque culture exige qu'elle rejette l'autre.
Meadows Wait, Mist Diffuses de Dzhovani Gospodinov (Documentaire, Luxembourg, 2024, 17', NB&C, VOSTF/A) Le film s'interroge sur l'éthique de notre intrusion dans le monde naturel.
18h30 – Le Studio des Ursulines Prix PRÉSENT Avant-première En présence de Béatrice Kordon Immémorial – Chants de la Grande Nuit de Béatrice Kordon (Documentaire, France, 2024, 111', C, VOSTF/A) La mort est l'horizon de toute existence, et pourtant nous ne savons rien d'elle et ne pouvons rien en dire. Ce film est une invitation à cheminer au seuil de cet indicible, entre monde des vivants et monde des morts.
21h00 – Le Studio des Ursulines Prix PRÉSENT En présence de Raúl Alaejos Object Of Study / Objeto de Estudio de Raúl Alaejos (Documentaire, Espagne, 2024, 71', C, VOSTF/A) Robert Peary, un explorateur américain, pensait il ya plus de 100 ans que le seul moyen pour un être humain d'atteindre le pôle Nord serait de faire des enfants avec des Inuits pour créez une « super-race » qui combinerait la force esquimaude et la clairvoyance occidentale.
Dimanche 20 avril
10h00 – Le Studio des Ursulines Prix CORTO 3
Chasing the Sun : El Shatt / Dohvatiti Sunce : El Shatt d'Ana Bilankov (Documentaire, Croatie, 2023, 19', C, VOSTF/A) Le film aborde des faits historiques concernant le plus grand camp de réfugiés, El Shatt, dans le désert du Sinaï, en Égypte, pendant la Seconde Guerre mondiale.
A Moment You Will Remember / En Stund Som du Kommer att Minnas de Polina Blag (Fiction, Suède, 2024, 15', C, VOSTF/A) Vera, 13 ans, s'automutile et se retrouve aux urgences. L'annonce d'une attente de six mois pour obtenir l'aide d'un spécialiste bouleverse sa mère.
Oplà de Giulia Camba (Fiction, Italie, 2025, 18', C, VOSTF/A) Nina part en excursion au bord de la mer avec sa mère et d'autres enfants. Au milieu des dunes, elle prend conscience de ce qui la trouble.
A Mother Goes to the Beach / Uma Mãe Vai à Praia de Pedro Hasrouny (Fiction, Portugal, 2024, 15', C, VOSTF/A) Teresa, une mère célibataire, passe une journée à la plage avec son fils de six ans, Benji, et sa sœur Marga, qui est de retour au Portugal pour les vacances d'été.
Becs & Ongles de Xavier Demoulin (Fiction, France, 2023, 22', C, VOSTA) Anaïs, dix-huit ans, n'a d'autre choix que de se plonger dans l'univers des gallodromes et faire combattre Balthazar, le dernier coq de son père décédé.
The Professional Parent / Profesionálny rodic d'Erik Jasaň (Fiction, Roumanie / Slovaquie, 2024, 14', C, VOSTF/A) Ingrid, confrontée aux difficultés matérielles, devient « mère professionnelle », et accueille une jeune fille Rom.
12h15 – Le Studio des Ursulines Prix CORTO 4
Jus d'Orange (hors compétition) d'Alexandre Athané (Animation, France/Pologne, 2024, 14', C, VOSTA) Toni est cultivateur d'oranges. Il les aime, il les choix, elles sont son trésor. Jusqu'au jour où, dans la vallée, d'étranges cargos accostent, chargés d'oranges vertes.
Les damnés, les possédés et les bien-aimés de Arne Dahr et Finn McAlinden (Documentaire, Norvège, 2023, 7', C, VOSTF) L'évocation de la chasse aux sorcières dans le nord de la Norvège au XVIe siècle. Un film sur le mémorial de Vardø, consacré aux 91 femmes torturées et brûlées.
Barlebas de Malu Janssen (Fiction, Belgique / Pays-Bas, 2024, 20', NB, VOSTF/A) Lorsque Heylken est accusée de sorcellerie, elle résiste, son esprit libre et sa voix puissante inspirent la jeune Griet.
Conventions of Contracts / Συμβάσεις Έργων de Stefanos Mondelos (Fiction, Grèce, 2024, 26', C, VOSTF/A) Un ancien ouvrier en bâtiment révèle une tentative de détournement d'argent public par l'utilisation de photos prises sur différentes phases d'un chantier.
Épilogue (rangée de dominos) de Michael Dietrich (Expérimental, Autriche, 2024, 5', C, sans dialogues) À l'intérieur d'une mégastructure des années 1970, des microphones piézoélectriques gelés fondent sous l'effet des rayons du soleil.
L'Étranger / Stranac de Milorad Milatović (Fiction, Croatie, 2024, 19', C, VOSTF/A) Quelques brèves rencontres au cours de la nuit de travail d'un chauffeur de taxi solitaire.
18h30 – Le Studio des Ursulines Prix PRÉSENT
À la porte de la maison qui viendra frapper / Ko će pokucati na vrata mog doma de Maja Novaković (Documentaire, Serbie / Bosnie et Herzégovine, 2024, 84', C, VOSTF/A) Au cœur de la Bosnie et Herzégovine, un vieil homme vit seul aux côtés de son cheval. Dans le froid glacial et les conditions difficiles, il cherche réconfort et chaleur dans l'étreinte de la nature.
20h30 – Le Studio des Ursulines Prix PRÉSENT En présence d'Arne Körner Nonkonform d'Arne Körner (Documentaire, Allemagne, 2024, 117', C, VOSTF/A) Dietrich Kuhlbrodt, ancien procureur chargé de perpétuer les crimes commis à l'époque nationale-socialiste au tribunal régional de Hambourg, ancien critique et acteur, vit seul dans le quartier hambourgeois de Blankenese. Depuis que sa femme Brigitte est partie, son histoire et son passé resurgit sans cesse.
21 avril
18h30 – Le Studio des Ursulines Prix PRÉSENT Graziano - A Hermit's Story (moyen-métrage) de Jozefien Van der Aelst (Documentaire, Allemagne / Belgique, 2024, 40', C, VOSTF/A) Graziano est le seul habitant d'un village de montagne déserté. Accompagné de son chien aveugle, Graziano erre dans les rues désertes et peint des formules religieuses et des formules politiques sur les murs du village.
19h15 – Le Studio des Ursulines Prix PRESENT First Milk / Πρωτόγαλα (moyen-métrage) de Panagiotis Papafragkos (Documentaire, Grèce, 2024, 46', C, VOSTF/A) Situé dans les contreforts du mont Pateras à Mégare, en Grèce, First Milk saisit la relation intime entre les bergers et leurs agneaux orphelins.
20h45 – Prix Le Studio des Ursulines PRÉSENT Et ils parleront de nous de Sieva Diamantakos (Documentaire, Ukraine, 2023, 103', C, VOSTF/A) Les destins entremêlés de Sergeï et Anna. Sergeï est un entrepreneur qui propose des visites militaires aux étrangers. Anna est une bénévole qui a dû fuir Donetsk au début du conflit russo-ukrainien. Elle enseigne l'art et les jeux aux enfants et se rend souvent dans le Donbass pour fournir des vêtements et des jouets à la population.
Mardi 22 avril
18h00 – Maison de la Vie Associative et Citoyenne du 14e REV Le Cameraman de Marion Lary (Documentaire, France, 2024, 73', C, VO) À 33 ans, trisomique, Étienne se rêve en caméraman professionnel. L'aventure du film nous confronte à ce qu'il est possible de construire avec et pour lui.
20h30 – Christine Cinéma Club REV En présence d'Albert Serra Tardes de soledad d'Albert Serra (Documentaire, 2024, France / Portugal / Espagne, 125', C, VOSTF) La vie du toréador Andrés Roca Rey pendant une journée de tauromachie, du moment où il enfile son costume au moment où il le retire.
Mercredi 23 avril
18h00 – Maison de la Vie Associative et Citoyenne du 14 e REV L'histoire reste jeune de Claire Angelini (Fiction, France, 2021, 44', C, VO) Six jeunes gens en quête d'eux-mêmes au cours de l'année 2021.
20h00 – Le Studio des Ursulines THEMA Foudre de Carmen Jaquier (Fiction, Suisse, 2022, 92', C, VO) Été 1900, au cœur d'une vallée du sud de la Suisse. Elisabeth, 17 ans, est sur le point de prononcer ses vœux après 5 ans passés au couvent. La mort soudaine de sa sœur l'oblige à retourner dans la ferme familiale pour assumer son nouveau rôle d'aînée.
Jeudi 24 avril
18h00 – The Film Gallery HM En présence de Peter Braatz, Blue Velvet Revisited de Peter Braatz (Documentaire, Etats-Unis / Allemagne / Slovénie, 2016, 85', C&NB, VOSTF) Lorsque David Lynch tournait son film Blue Velvet , le cinéaste allemand Peter Braatz était également présent sur le plateau et tournait des séquences documentaires à l'aide d'une caméra Super 8.
20h00 – Pathé les Fauvettes Prix SAUVAGE Avant-première – en présence d'Olivier Meys et de l'équipe du film. L'été de Jahia d'Olivier Meys (Fiction, Belgique / Luxembourg / France, 2025, 83', VOSTF/A) Jahia, une jeune Burkinabè, vit dans un centre pour demandeurs d'asile en Belgique. Sans perspective, elle nourrit une peur du futur qui l'isole et l'empêche de vivre. Un jour, Jahia fait la rencontre de Mila, une jeune Biélorusse, qui l'entraîne dans sa folle énergie.
Vendredi 25 avril
17h00 – The Film Gallery SEX & HM Hommage à Giancarlo Brebbia Projection suivie de présentation du livre « Ho fatto un film » de Giovanna Brebbia Amore dans Antitesi (1967) – 16' Ufo (1968) – 20' Extremity 2 (1968) – 19' Anno 2000 I° parte (1969) – 14' Deserto in Luce Solare (1969) – 8'
19h30 – Pathé les Fauvettes Prix SAUVAGE Avant-première – en présence de Laura Schroeder et Suzanne Wolff. Maret de Laura Schroeder (Fiction, Luxembourg / Allemagne, 2023, 125', C, VOSTF/A) Une opération révolutionnaire du cerveau dans une clinique de Lanzarote est peut-être le seul espoir pour Maret de retrouver la mémoire... mais que faire si elle ne veut plus être la personne qu'elle était autrefois ?
Samedi 26 avril
15h00 – The Film Gallery SEX & HM Hommage à Giancarlo Brebbia Fumus Art (1969) – 20' Bet (1972) – 5' Bazar (1973) – 3'45 Polemizzando in Bianco e Nero (1967) – 24' So That's That (1968) – 15'44 Ho Fatto un Film a Varese I & II (1970) – 28'
16h30 – La Fondation Jérôme Seydoux-Pathé CX Le Billet Jaune / Der Gelbe Schein de Viktor Jansone et Eugen Illés (Fiction, Allemagne, 1918, 66', NB, Muet) avec Pola Negri. Léa vit dans le ghetto de Varsovie. Après la mort de son père, elle se rend à Saint Pétersbourg pour y suivre des cours à l'université. En tant que juive, elle se voit dé délivrer un passeport jaune et doit obligatoirement résider dans une maison close. Elle s'inscrit au cours de médecine sous un faux nom et figure parmi les meilleurs élèves.
18h00 –Le Centre Culturel de Serbie CX Florilège de films d'étudiants de la Faculté des Arts dramatiques de Belgrade
18h30 – Le Studio des Ursulines Prix SAUVAGE Avant-première – en présence Reza Serkanian et de l'équipe du film Les Intrus de Reza Serkanian (Fiction, France / Allemagne / République tchèque, 2024, 80', C', VOSTA) Dans la campagne française, Sarah, Ibra et Moussa, trois mineurs en situation irrégulière, trouvent refuge dans la ferme de Corinne, une femme au grand cœur. La situation s'aggrave lorsque Corinne disparaît mystérieusement, et que sa famille soupçonne les jeunes migrants, de cacher quelque chose.
20h45 – Le Studio des Ursulines Prix SAUVAGE En présence de David Jovanović Sun Never Again / Sunce nikad više de David Jovanović (Fiction, Serbie, 2024, 72', C', VOSTF/A) Dans l'est de la Serbie, Vid, un père confronté à la menace croissante d'une mine de fer exploitée par une multinationale près de chez lui, découvre la résilience et l'espoir grâce à l'imagination de son jeune fils, Dule.
Dimanche 27 avril
11h30 –Le Studio des Ursulines Prix SAUVAGE Les Intérieurs de Nos Vies (moyen-métrage) de Misja Pekel (Fiction / Expérimental, Pays-Bas, 2024, 50', C, VOSTF/A) Les Intérieurs de Nos Vies est un mélange poétique de fiction et de found footage . Une sélection d'heures d'images retrouvées, présente le passage à l'âge adulte de deux filles qui grandissent le long d'une frontière en Europe, alors que la frontière les sépare progressivement.
12h50 –Le Studio des Ursulines Prix SAUVAGE En présence de Harry Batty Quiet Nights (moyen-métrage) de Harry Batty (Fiction, Royaume-Uni, 2024, 44', C, VOSTF) Adrian, un artiste citadin à succès, partie en séjour à la campagne pendant l'été, en quête d'inspiration et d'évasion. Il se lie d'amitié avec la famille d'une femme veuve et de ses deux filles adultes, Sofia et Lidia, et s'immerge dans leur vie. Sofia et Adrian se rapprochent l'un de l'autre, mais des tensions apparaissent entre Adrian et Lidia.
15h00 – The Film Gallery SEX & HM Hommage à Giancarlo Brebbia Idée assurée pour un cinéaste. Matilde (1969) (4,45') Idée assurée pour un cinéaste. Luna (1969) (13,20') Idée assurée pour un cinéaste. Ester (1969) (11,51') Idée assurée pour un cinéaste. Germana (1969) (7.31')
18h30 – Le Studio des Ursulines Prix SAUVAGE En présence de Tereza Kotyk Nebelkind – La Fin du silence de Tereza Kotyk (Fiction, Autriche / République tchèque, 2024, 94', C, VOSTF/A) Hanna, autrichienne, est éleveuse de loups. Lorsque l'un d'entre eux s'échappe, elle le suit de l'autre côté de la frontière, en République tchèque. La piste mène au lieu d'où sa famille a été déplacée de force après 1945.
20h45 – Le Studio des Ursulines Prix SAUVAGE My Late Summer / Nakon ljeta de Danis Tanović (Fiction, Croatie / Serbie / Bosnie-et-Herzégovine / Slovénie / Roumanie, 2024, 96', C', VOSTF/A) Maja, une femme dans la trentaine, se rend sur une île isolée, déterminée obtenir à des réponses aux questions qu'elle se pose sur son passé - et à toucher une partie d'un héritage qu'elle estime lui revenir de droit.
28 avril
17h45 – Le Studio des Ursulines Prix SAUVAGE Avant-première On Falling de Laura Carreira (Fiction, Portugal / Royaume-Uni, 2024, 104', C, VOSTF/A) Lundi Aurora, immigrée portugaise, travaille comme préparatrice de commandes dans un vaste centre de distribution en Écosse. Son monde se réduit à son lieu de travail et à sa colocation et Aurora cherche à résister à la solitude et à l'aliénation.
20h30 – Pathé les Fauvettes Prix SAUVAGE Avant-première – en présence de Lilja Ingolfsdottir Loveable / Elskling de Lilja Ingolfsdottir (Fiction, Norvège, 2023, 100', C, VOSTF/A) Maria jongle avec quatre enfants et une carrière exigeante. Dans cette famille recomposée, Sigmund, son compagnon, qui voyage constamment, après une dispute, demande le divorce.
Mardi 29 avril
20h00 – Cinéma Les 7 Parnassiens THEMA Cérémonie de clôture Fairytale / Сказка d'Alexandre Sokourov (Fiction, Russie / Belgique, 2022, 78', NB, VOSTF) Dans ce film expérimental, historique et fantastique, Staline, Hitler, Churchill, Mussolini et Napoléon errent dans le purgatoire, accompagnant une hypothétique ouverture de la porte du paradis.
Lundi 5 mai
17h00 - Inalco - Institut national des langues et civilisations orientales THEMA Après-clôture Cat City / Macskafogó de Béla Ternovszky (Animation, Hongrie / Allemagne / Canada, 1986, 96', C, VOSTF) Sur la planète X, le peuple des souris est en danger : les chats gangsters, foulant aux pieds les anciens accords entre chats et souris, s'apprêtent à toutes les massacrer entièrement.
Les abréviations : SAUVAGE (compétition Prix SAUVAGE), PRESENT (compétition Prix PRESENT), CORTO (compétition Prix SAUVAGE CORTO), HM (Hommages aux maîtres), THEMA (THEMA : Tell Me Lies), CX (Connexions), SEX (Salon expérimental), REV (Rencontres et Événements)
Les lieux Partenaires
Christine Cinéma Club 4 rue Christine, 75006 Paris Plein Tarif 10€ Tarif Réduit 8€ (étudiants, seniors et chômeurs) UGC Illimité CinéPass Pass festival
Maison de la Vie Associative et Citoyenne du 14 e 76 Rue Daguerre, 75014 Paris 01 53 63 31 50 Entrée libre
Le Centre Culturel de Serbie 123 Rue Saint-Martin, 75004 Paris 01 42 72 50 50 Entrée libre
Le Studio des Ursulines 10 Rue des Ursulines, 75005 Paris 01 56 81 15 20 Plein Tarif 9€ Tarif Réduit 7,50€ UGC Illimité CinéPass Pass festival
La Fondation Jérôme Seydoux-Pathé 73 Av. des Gobelins, 75013 Paris 01 83 79 18 96 Tarif 7€ / 5€50 Tarif partenaire Gaumont Le Pass et Libre Pass 4€ Pass festival
La Bibliothèque Polonaise de Paris http://www.bibliotheque-polonaise-paris-shlp.fr/ 6 Quai d'Orléans, 75004 Paris 01 55 42 83 83 Entrée libre
Inalco - Institut national des langues et civilisations orientales 65 rue Grands Moulins 75013 Paris 01 81 70 10 00 Entrée libre
Les 7 Parnassiens 98 Bd du Montparnasse, 75014 Paris 01 43 35 20 85 Tarif plein 12€ Senior (+65 ans), chômeur, famille nombreuse 9€ : Personne en situation de handicap 9€ UGC Illimité CinéPass Pass festival
Pathé les Fauvettes 58 Av. des Gobelins, 75013 Paris Tarif Plein 13,90€ Tarif Etudiant 9,90€ Carte 3 places (valable 1 mois) 24€ Pass CinéPass festival
La Galerie du Film 43 Rue du Faubourg Saint-Martin, 75010 Paris 09 54 22 51 11 Entrée libre
Palmarès de la 20e édition
Prix SAUVAGE
Meilleur film de fiction Loveable / Elskling (Norvège)de Lilja Ingolfsdottir
Mention spéciale On Falling (Portugal / Royaume-Uni)de Laura Carreira
Le Jury Prix SAUVAGE : Ena Sendijarević – Présidente (Pays-Bas), Lolita Chammah (France), Giuseppe Garau (Italie) et Pierre Triapkine (France).
Prix LUNA
Meilleur film de fiction Sun Never Again / Sunce nikad više (Serbie) de David Jovanović
Mention spéciale On Falling (Portugal / Royaume-Uni) de Laura Carreira
Le Jury étudiant Prix LUNA : Adrien Gilet, Alice Geraut, İlayda Hasipoğlu, Nicolas Ehrhardt, Clarisse Nowrouzi Nodeh.
Prix PRESENT
Meilleur film documentaire Nonkonform (Allemagne) de Arne Körner
Mention spéciale Graziano – A Hermit’s Story (Belgique / Allemagne) de Jozefien Van der Aelst
Le Jury Prix PRESENT : Miriana Bojic Walter – Présidente (France), Claire Angelini (France) et Guillaume Robillard (France).
Prix E-MOTION
Meilleur film documentaire Nonkonform (Allemagne) de Arne Körner
Mention spéciale Object of Study / Objeto de Estudio (Espagne) de Raùl Alaejos
Le Prix E-MOTION est décerné par le Mouvement Européen Paris avec son partenaire l'ALDA. Président : Eric Dumont.
Prix SAUVAGE CORTO
Meilleur court-métrage Barlebas (Pays-Bas / Belgique) de Malu Janssen
Mention spéciale Inflatable Bear, Hourly (Allemagne) de Elisabeth Werchosin
Mention spéciale Meadows Wait, Mist Diffuses (Luxembourg) de Dzhovani Gospodinov
Le Jury SAUVAGE CORTO : Vincent Quénault – Président (France), Giulia Grossmann (France) et Moritz Pfeifer (Allemagne).
Prix LUPETO
Meilleur court-métrage Inflatable Bear, Hourly (Allemagne) de Elisabeth Werchosin
Mention spéciale Falling for Greta (Royaume-Uni) de Gustavo Arteaga
Le Jury Prix LUPETO d’étudiants d’académies de cinéma européennes : Zoja Čvoro et Adem Tutić (Faculté des Arts Dramatiques de Belgrade, Serbie), İlayda Hasipoğlu (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, France), Karolina Klapkowska (Krzysztof Kieślowski Film School, Katowice, Pologne), Kajetan Sempoch et Xiyan Tan (École nationale de cinéma de Łódź, Pologne).