14 Février 2024
La 14e édition des Odyssées, proposée par le Centre Dramatique National – Théâtre de Sartrouville, accueille six créations pour des enfants, des pré-ados et des ados. Une programmation de qualité ouverte sur le monde d'aujourd'hui.
Odyssées , ce sont, pour la saison 2024, plus de 200 représentations prévues dans des lieux non théâtraux – écoles, collèges, centres sociaux, médiathèques, salles des fêtes – et en particulier en milieu rural ou dans les quartiers populaires où le théâtre n' arriver pas. Le festival Odyssées a un double ADN : mettre en avant la création – six spectacles pour cette saison – et la destiner chaque fois à un public restreint – de trente à soixante spectateurs au maximum, soit deux classes.
Un objectif pédagogique revendiqué
Jouer à proximité pour des enfants dont c'est parfois le premier contact avec le spectacle vivant, introduire de la culture dans la vie en même temps que de la vie dans la culture et la création sont les principes qui régissent le festival. Qu'ils passent par les canaux du théâtre, de la musique ou du cirque, qu'ils mélangent parfois les disciplines, ces spectacles sont en prise sur notre temps ; ils offrent une chambre d'échos au monde, où s'analyse, se lit et se transfigure ce que les petits comme les moins petits absorbants à travers la télévision, internet ou les conversations des parents, le plus souvent sans en avoir conscience. Si le projet éducatif est partagé par tous les spectacles, il n'en prend pas moins des voies différentes et complémentaires car les centres d'intérêt varient d'un âge à l'autre tout comme la manière de raconter les histoires. À la petite enfance la gestion des émotions ; à celle de plus grandes l'approche des grandes questions qui agitent notre temps ; aux pré-ados et aux ados celles qui touchent à la définition de leur personnalité et à l'éveil de la sexualité. Quant à la création circassienne acro-chorégraphique d' Attractions , elle lie disciplines du corps et apprentissage social en proposant comme issue aux chutes, roulades, résistances et empilement des corps soumis à la force gravitationnelle la nécessité du dialogue et de la complicité pour s' aider et mieux cohabiter.
Le Chat sur la photo. Une pièce pleine de fantaisie pour domestiquer la peur.
La pièce d’Antonio Carmona mise en scène par Odile Gosset-Grange emprunte au polar ses codes pour les pervertir et les mélanger avec une allégresse réjouissante à des thèmes qui touchent de près les petits.
Quand on a quatre ans et demi, comme Anya, on a tendance à se faire un film quand l’inquiétude s’installe. Or Anya a perdu son copain chat et les drôles de bruits qu’elle entend dans la maison ne contribuent pas à la rassurer. Au contraire. Mais à qui raconter ça quand les parents, visiblement, sont loin de tout ça et pas du tout prêts à lui prêter une oreille attentive ? Heureusement elle a son doudou, Froussard, qu’elle embarque avec elle dans cet espace inquiétant qu’est le grenier, lieu de tous les fantasmes d’autant plus qu’il est interdit. Dans une maison de petit format qui serait comme une maison de poupée, mais à échelle d’enfant, l’aventure prend des allures d’exploration de labyrinthe où les tours de magie font gambader l’imagination. Analogue à ces maisons de bois dont on assemble les pièces, elle se transforme à volonté. On peut s’y faufiler, voire prendre le toit pour le placer sur sa tête ou le transformer en tribune.
Décalage à tous les étages
L’invention langagière est au rendez-vous et les images sont éloquentes : les étoiles sont flippantes, le chat d’Anya a pris la poudre d’escarpette et le serpent-spirateur prépare son mauvais coup dans la cité du placard à balais ; quant à la mère d’Anya, en pleurs, il lui faut retirer les oignons des yeux pour que ses larmes se tarissent… Comme toujours dans les spectacles d’Odile Gosset-Grange, la fantaisie et une certaine insolence de l’enfance vis-à-vis du monde des adultes sont de rigueur car c’est à travers les yeux d’Anya que nous regardons le comportement erratique de ses parents, qui ne cessent de se chamailler. Séparation possible ou famille monoparentale pointent à l'horizon, mais sans dramatiser ni s'appesantir, et les objets entretiennent avec les situations d’étranges similitudes. Devant l'hypothèse de la rupture des parents, le canapé se divise en deux…
Voir le monde à hauteur d’enfant
Deux personnages occupent la scène : Anya et son doudou Froussard, un objet transitionnel comme en possèdent tous les enfants. Avec lui elle est en confiance, le prend à témoin, invente des dialogues imaginaires, le dote de la parole. Elle est une fille et lui un garçon qui, comme son nom l’indique, s’effraie de tout et l’on apprécie que, pour une fois, le courage et l’audace de braver la peur soient le propre de la petite fille…
Fantaisie enlevée et pleine d’humour, le Chat sur la photo provoque chez les enfants ce délicieux sentiment de peur et cette attirance mêlée d’appréhension qu’ils affectionnent, sous réserve qu’ils soient perçus par eux comme un jeu et restent maîtrisables. La conception de la pièce à hauteur d’enfant laisse apparaître la différence de perception qu’ils ont du monde des adultes et de leur environnement, en particulier urbain, et des sources de stress et d'angoisse insoupçonnées qu'ils peuvent trouver dans une situation anodine. La légèreté du traitement de ces questions « sérieuses » et la dynamique pleine de drôlerie du spectacle, si elle entraîne les enfants, n’en séduit pas moins les adultes.
Esquif (à fleur d’eau). Quand la Mer relaie les récits des migrants.
S’inspirant de témoignages de rescapé.es recueilli.es par le navire humanitaire de SOS Méditerranée, Ocean Viking, la pièce d’Anaïs Allais Benbouali trouve une forme délicate pour témoigner du drame que vivent ceux qui, fuyant leur pays, tentent, sur les embarcations de fortune, de gagner l’Europe.
Dans un espace resserré, tri-frontal, les enfants entourent un espace neutre recouvert de plastique bleu. À jardin une violoncelliste introduit une histoire faite de délit de faciès et d’adultes « chelou » où les grandes personnes, qui ont le savoir, ont tout faux et où les enfants comprennent tout sans savoir. Passé cette entrée en matière un peu laborieuse, on entre dans le (bleu) vif du sujet. Ceux dont il va être question sont assis entre des chaises – comprenez des pays – parce qu’ils espèrent déménager ou ont besoin d’être ailleurs. La mer, animée par un ventilateur placé sous le plastique, gonfle ses flots. Celle qui va l’incarner apparaît, un récipient de verre transparent dans lequel baigne une algue à la main. Elle est la mer sur laquelle navigue le bateau-ambulance de SOS Méditerranée et ce n’est pas de gaieté d’algues qu’elle a englouti l’esquif qui portait ces gens venus de toutes parts, qui ne peuvent trouver leur place.
À l’origine, un fonds documentaire
Inspirée par une réalité tragique – depuis dix ans, plus de 28 000 personnes ont trouvé la mort en tentant de franchir la Méditerranée dans des conditions épouvantables, parfois à 200 sur un canot pneumatique – et par les efforts déployés par les associations humanitaires – on compte plus de 30 000 personnes sauvées par le navire humanitaire Ocean Viking – la pièce évoque les origines géographiques des migrants – Afghanistan, Guinée, Moyen-Orient… – et leurs motivations. Miséreux souffrant de la faim, femmes voulant échapper au mariage forcé, hommes réfractaires au service militaire, enfants poussés par leurs parents, exilés politiques affrontent la maltraitance de passeurs sans foi ni loi et le danger de la traversée dans l’espoir d’une vie meilleure.
Une approche onirique et sensible
Leur histoire, ils ne sont plus là pour la raconter. La mer les a engloutis et ils demandent à cette mer devenue mère de se faire l’écho de leur histoire « pour que nous existions ». Elle va donc « retourner la carte » pour parler de ceux qui ont fini par « faire peuple avec les poissons ». Évoquer ceux qu’on a « laissés au bord de [leur] vie » dans le bruit des bulles, ceux qui vaguent dans les eaux, cliquettent, gloussent, grincent et sifflent avec les dauphins, chantent avec la baleine, sur une mer qui autrefois ne séparait pas les continents mais les unifiait. Cette mer-mémoire fait remonter le souvenir d’un exil oublié, que tous les hommes ont partagé. Elle stigmatise ces adultes qui, au lieu des étoiles, comptent aujourd’hui les billets.
De l’imaginaire à la vraie vie
Entre onirisme et réalité, elle évoque de manière plus concrète les sauvetages en mer, les gestes de base pour secourir : les vêtements secs, les rations alimentaires, les premiers soins. Un bateau-jouet devient l’Ocean Viking sur lequel des personnages de papier scrutent l’horizon à la recherche de rescapés, le pont du bateau se peuple de figurines tandis que des extraits d’interviews donnent le cadre « documentaire » qui a servi de base à la conception du spectacle. L’imaginaire débouche sur la vraie vie. À hauteur d’enfant, la Méditerranée devient un personnage pour faire comprendre à des enfants que le sauvetage des migrants et leur accueil nous concerne tous. L'allégresse des femmes qui entonnent un chant de joie à la fin est là pour nous rappeler de quoi le mot « humanité » devrait être porteur.
Malik le Magnifique. Être l’enfant de personne.
Ce spectacle musical qui prend sa source dans le récit autobiographique de Malik Richeux, repris par Abdelwaheb Sefsaf qui l’enrichit de son expérience propre, retrace l’histoire un enfant né sous X dans un bidonville de Nanterre.
Malik a été abandonné dès sa naissance. Il ignore tout de ses parents biologiques. Le seul lien qui le relie à ce passé est son prénom, qu’on lui dit avoir retrouvé près de lui, inscrit sur un carton. Adopté par une famille de pêcheurs, en Bretagne, il grandit dans une île, avec pour seul horizon la mer, et pour unique ambition le désir de partager avec celui qu’il appelle son père, un marin pêcheur, ce qui le définit : la pêche. Un jour cependant, il découvre, enchevêtré dans ses filets, un violon. L’enfant, fasciné, répare le violon. Il va le faire chanter et les histoires que l’instrument raconte lui font peu à peu remonter le fil du temps.
Une promenade dans le temps
Du sens du mot « bidonville » à ce que signifie « né sous X », l’exploration commence et avec elle la question du pourquoi de l’abandon. En chansons, Malik Richeux dit cette difficulté de se situer, son sentiment d’être né sans naître, nu, sur une page blanche, sans rien qui l’entoure. Il réenchante son adoption, cette Bretagne qu’il a faite sienne. Avant que ne surgissent les interrogations sur les raisons de son abandon : le manque de moyens ? la trop grande jeunesse ? un enfant hors mariage ? une mère abandonnée ? Le violon devient son armoire aux souvenirs, le truchement par lequel il dialogue avec la mère qu’il n’a jamais connue. La retrouve-t-il, cette mère qui l’a abandonné, ou lui invente-t-il une existence, d’autres enfants ? Le chemin de la reconstruction est lent, et il se nourrira de cet exil qu’il conjure pour, enfin, se retrouver un nom, une origine, une histoire.
Récit et musique
La musique ici n’est pas accompagnement. Elle est expression propre, qui unit deux parcours, celui du violoniste Malik Richeux dont le son jazzy traverse cette fable qui recoupe en grande partie sa propre histoire, et celle d’Abdelwaheb Sefsaf, fils d’un immigré algérien, auteur, compositeur et interprète, qui crée en 1999 un groupe de musique world, Dezoriental, avant de développer, au travers d’un théâtre musical, un propos qui entremêle et imbrique les âges, les traditions et les cultures à travers des spectacles qui explorent la relation entre musique, théâtre et vidéo. De cette hybridation assumée naît un homme neuf à cheval entre des mondes et riche de chacun d’eux. Cet enchevêtrement de niveaux peut cependant apparaître difficile à appréhender pour un enfant de huit ans, auquel le spectacle s’adresse, d'autant que la présence d’une actrice qui lui donne la réplique trouble le jeu encore davantage.
Love à gogo. De quelques petites choses à savoir sur la sexualité et de la manière de s’y préparer quand on est ado.
Ce divertissant spectacle ne fait pas qu’offrir au rire un terrain propice. Il accompagne une démarche de sensibilisation des pré-ados et des ados à ce qui concerne la sexualité, des modalités du rapport à l’autre jusqu’aux précautions à prendre et aux outils permettant de faire face aux turbulences potentielles.
C’est un vieux lapin, plus très frais, rapiécé, fatigué d’avoir été trop tripoté, qui nous accueille dans la chambre de Swan, qui ne joue plus vraiment avec lui. Car Swan a grandi. Sur fond de cocotiers et de plage exotique au soleil couchant, sa chambre ne ressemble plus à une chambre d’enfant. Swan, justement, fait des cachoteries. À son lapinou, bien sûr, mais aussi à sa mère. Parce qu’il a des problèmes d’hormones. Cet après-midi-là, il est parti en oubliant son portable. Comme Lapinou est curieux, il va y jeter un œil. Justement, il y a trente-cinq notifications sur son groupe « Love à gogo ».
Un difficile apprentissage de la sexualité
Nous voici lancés dans les échanges d’ados – autour de treize ans – avec ce qui préoccupe les jeunes de cet âge : au-delà de l’école, la manière d’emballer, d’embrasser et ce qui suit ou qui peut arriver. Des choses qu’on ne dit pas aux parents, des questions qu’on ne pose pas mais qu’on partage avec des « copains », souvent aussi peu informés quoi qu’ils plastronnent, ou qu'on explore sur les réseaux sociaux, engendrant un savoir approximatif, source même, parfois, de conséquences qui peuvent s'avérer dangereuses. Le spectacle, relayé par le travail du Planning familial ou celui des associations d’aide aux adolescent.es et les actions en milieu scolaire, reprend et prolonge les thématiques liées à la puberté et à l’éveil de la sexualité qui comptent, de parole même d'adolescent.es, parmi leurs préoccupations majeures.
Derrière le divertissement, la prévention
De contraception en préservatif et en protection, de magazine porno en grossesse et en moyens de l’éviter, d’articles de lois en recours possibles, le spectacle fait le point des sources d’information et des aides mises à la disposition de la jeunesse, dans les établissements scolaires ou ailleurs. On avance, sur le mode de l’humour et dans un langage ado, sur les voies difficiles de l’apprentissage de la sexualité et du respect mutuel des partenaires. On partage les difficultés du parler ensemble dans les relations parents-enfants. Du « parfum » de la testostérone en folie à leur âge à la question du consentement, on passe en revue les dangers qui guettent les ados en même temps qu’on leur fournit les moyens d’éviter les dangers ou de faire face aux « incidents » survenus. Et lorsqu’à la fin on leur propose de récupérer les coordonnées d'organismes et de personnes en mesure de répondre à leurs questions, voire de les aider, il y a ceux qui passent, raides comme la justice, et ceux qui, subrepticement, prennent le document qu’on a laissé à leur intention.
Cette note qui commence au fond de ma gorge. Entre amour fou, exil et liberté de choix.
Ce très beau et très puissant spectacle sur la difficulté d’être mêle récits d’exil, d’amour et de griefs dans le corps à corps de deux personnages avec un texte intense et tout en brisures.
Un jeune homme et une jeune fille se font face. Il vient d’Afghanistan, de Bamian où les talibans ont rayé des mémoires ces grands bouddhas de pierre que le monde admirait. Elle navigue entre milieux humanitaires et estudiantins. Aref et Bahia viennent sur le sol nu de la scène, encombré de faux jouets d’enfant de tissu cousus, traîner leur mal-être. Il parle de guerre et d’exil et elle parle d’amour. Elle se bat, se débat, s’insurge car ce jour-là, il lui a annoncé que son amour pour elle était mort et qu’il allait partir, rejoindre les siens à Strasbourg, dans l’Est de la France. Tenter de vivre dans et avec la musique. Elle s’accroche, becs et ongles sortis, pour tenter de le retenir, usant un à un tous les arguments à sa disposition, des plus romantiques aux plus triviaux, de la colère à la supplication, du rappel de la rencontre qui les a laissés foudroyés au chantage aux sentiments.
Un lyrisme soutenu qui passe par deux langues
Derrière eux, deux mondes s’affrontent, deux langues se confrontent, « Deux cœurs à contretemps qui battent à contre-jour » entrent en dissonance. À la dambura, le luth traditionnel des contrées d’Asie centrale, ou aux tablas, parfois avec l’apport d’un harmonium qui exhale son long souffle plaintif, Aref exprime sa souffrance d’hazara, fier de son ascendance mongole, dépossédé de sa vie « par de faux étudiants / Des brutes à la main leste, l’acier dans le cœur », sa recherche d’une place qui lui appartiendrait en propre sans être le débiteur de personne. Il parle la langue de la musique qui le porte et porte son exil et son souvenir du pays perdu, Bahia celle de la passion amoureuse qui transcende les frontières et s’affranchit de la réalité. Elle lui oppose des quatrains en alexandrins, puis en décasyllabes, le langage par excellence de l’épopée et du lyrisme en même temps que le carcan qui l’enferme et dans lequel elle se débat, brisant parfois par des enjambements l’uniformité métrique du vers dans son expression d’un trop-plein de passion.
Un face-à-face entre théâtre et musique
Ils se font face, dressés l’un contre l’autre, luttant l’une pour son amour, l’autre pour son droit à l'existence. L’écriture est tendue, sèche, nerveuse, cadencée, bandée comme un arc, emportée comme un torrent furieux. Les images affluent. D’un affrontement qui arase tout sur son passage et ne laisse pas indemne. Angèle Garnier, toute en déchirements, se lance comme une boxeuse sur le ring ; elle s’y engage à corps perdu, guerrière magnifique d’un combat qu’elle sait inutile, présenté ici en trois phases qui bousculent la chronologie dans un mouvement qui part du présent – la rupture – pour remonter au passé et envisager l’avenir. Esmatullah Alizadah, originaire, comme le personnage d’Aref, d’Afghanistan, lui oppose une résistance presque passive, une ferme douceur, comme une vision d’éternité hors de la violence du monde, une recherche d’apaisement d’après la catastrophe, cette immanence que la musique apporte et que la dambura exprime face à la violence de cette passion non partagée que lui oppose Bahia.
Construite en miroir par rapport au présent de la rupture, plongeant dans les racines pour conduire à l’après, la pièce ne prend pas de parti, n’assène pas de fin. Elle expose, mais avec un sentiment d’urgence vitale, un degré d’incandescence qui ne laisse pas indemne deux positions inconciliables : d’amour mourir ou de vivre à en mourir. À celui qui n’est plus rien et ne réclame rien d’autre qu’une petite place où « jouer », Bahia ne peut qu’opposer : « Tous les enfants le savent, qu’aimer est un enfer. »
Odyssées en Yvelines https://odyssees-yvelines.com/ – 6 créations
Le Chat sur la photo. Odile Grosset-Grange (artiste associée), théâtre, magie | dès 4 ans (20 répr.)
Attraits . Florence Caillon, chorégraphie de cirque | dès 6 ans (14 répr.)
Esquif (à fleur d'eau). Anaïs Allais Benbouali, théâtre, musique | dès 8 ans (12 répr.)
Malik le Magnifik. Abdelwaheb Sefsaf, théâtre musical | dès 8 ans (13 repr.)
Cette note qui commence au fond de ma gorge. Fabrice Melquiot , théâtre, musique | dès 10-11 ans (14 repr.)
Love à gogo ! Marion Aeschlimann, Benjamin Villemagne, théâtre | dès 13 ans (15 répr.)
Le Chat sur la photo
S TexteAntonio CarmonaS Mise en scèneOdile Grosset-GrangeS ScénographieCerise GuyonS Assistanat à la mise en scèneCamille BlouetS MagiePère AlexS AvecMarie-Camille Le BacconetGuillaume RiantS ProductionThéâtre de Sartrouville et des Yvelines – CDNSCoproductionLa Compagnie de Louise, La Coupe d'Or – Théâtre de RochefortSAvec la participation artistiquedu Studio-ESCASOdile Grosset-Grange est artiste associée au Théâtre de Sartrouville et des Yvelines – CDNSPour écoles, bibliothèques et lieux non équipésSJauge 60 personnes (ou 2 classes)SDurée 35 minSDès 4 ans S Présenté aussi dans le cadre du Festival Le Lavoir en famille (Paris), les 3, 4, 6, 7 avril 2024
Esquif (à fleur d'eau)
S Texte et mise en scèneAnaïs Allais Benbouali S AvecAnissa Kaki, comédienne,Amandine Dolé, comédienne et violoncellisteS SonSandy Ralambondrainy S ScénographieLise Abbadie S Régie généraleThomas Demougeot S ProductionThéâtre de Sartrouville et des Yvelines – CDNS CoproductionLa Grange aux BellesS Pour écoles, bibliothèques et lieux non équipésS Jauge 60 personnes (ou 2 classes) S Durée 45 minS Dès 8 ans
Malik le Magnifique
S Texte et mise en scèneAbdelwaheb SefsafS AvecMalik RicheuxetStéphanie SchwartzbrodS MusiqueGeorges BauxetMalik RicheuxS ScénographieSouad SefsafS VidéoRaphaëlle BruyasS ProductionThéâtre de Sartrouville et des Yvelines – CDNS Pour écoles, bibliothèques et lieux non équipéS Jauge 60 personnes (ou 2 classes) S Durée 45 minS Dès 8 ans S Présenté aussi dans le cadre du Festival Le Lavoir en famille (Paris), les 8, 9, 13, 14 avril 2024
Cette note qui commence au fond de ma gorge
S Texte et mise en scèneFabrice MelquiotS AvecEsmatullah AlizadahetAngèle GarnierS ScénographieRaymond SartiS ProductionThéâtre de Sartrouville et des Yvelines – CDNSAvec le soutiendu Théâtre Molière – Sète, scène nationale archipel de ThauSAvec la participation artistiquedu Jeune théâtre nationalSPour écoles, collèges, bibliothèques et lieux non équipésSJauge 30 personnes (salle de classe)à 60 max (autres lieux)SDurée 45 minSDès 10-11 ans
Love à gogo
S Conception, mise en scène et jeuMarion AeschlimannetBenjamin Villemagne S ProductionThéâtre de Sartrouville et des Yvelines – CDNS En partenariatavec La Quincaillerie ModerneS Pour écoles, collèges, bibliothèques et lieux non équipés S Jauge 30 personnes (salle de classe)à 60 max (autres lieux)SDurée 40 min + rencontreSDès 13 ans
Et aussi…
Attraits
S Conception, mise en piste, acro-chorégraphie et musiqueFlorence Caillon S Avec (duo en alternance)Théo Corre, Johanna Dalmon, Gabriel Dias, Maélie PalomoetNaloëne Berneron
S Costumes Emmanuelle Huet S Régie générale Margaux Chevalier S Production Théâtre de Sartrouville et des Yvelines – CDN S Coproduction l'Éolienne cirque chorégraphié S Pour écoles, bibliothèques et lieux non équipés S J auge 60 personnes (ou 2 classes) S Durée 40 min S Dès 6 ans